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ÉCHELLE DE PLANCK

Échelle de PLANCK

La physique tel que nous la connaissons et vivons au quotidien. Qui nous permet de nous déplacer en voitures, trains, avions. Fabriquer des choses, portables, maisons, yaourts, microscope, télescope. Cette physique s’arrête de fonctionner, quand on observe l’infiniment petit et que l’on arrive à ce qui s’appelle l’échelle de Planck (le monde quantique). Cette frontière est 10 puissances -33 plus petite que nous-mêmes. Si nous étions sous un microscope et que l’on puisse regarder à cette échelle. Ce que nous verrions c’est qu’il n’y a plus de masse de poids. Et que nous sommes plutôt de l’information et de l’énergie. Chose magnifique l’information contenu en nous-mêmes est égal à l’information qui à crée l’univers. Comment c’est possible et bien parce qu’elle est en nous sous forme de « particules, de photons, de quantas, de bits quantiques », qui a l’âge de l’univers 13,8 milliards d’années et peut être plus encore. Elle se présente de manière fractale et Holographique. Un peu comme une image en 3D que l’on donne aux enfants. Quand on la coupe en deux puis en 4 et ainsi de suite c’est toujours le même motif qui apparait.

Monde de l'infiniment petit Monde de l'infiniment grand

Si l’on prend le volume d’un atome d’hydrogène qui mesure 10 puissance – 23 cm3. Et bien l’énergie l’attente à l’intérieur de cet atome à 3 billions d’énergie de plus que toute la matière de toutes les étoiles de toutes les planètes dans un rayon de 20 millions d’années lumières. « C’est beaucoup énormément et si ta conscience te permet de contrôler même si il ne s’agit que d’une infime fraction, il est alors facile de provoquer un Big Bang ». Propos du professeur William Tiller.

Monde de l'infiniment petit Monde de l'infiniment grand

Tous les atomes de tout l’univers n’arrêtent pas d’échanger de l’information. Que se soit les trous noirs, avec les étoiles, les planètes, et aussi l’espace « le vide » qu’il y a entre ces éléments stellaires échange de l’information, à tous les niveaux. Le niveau quantique n’y échappe pas. Nous aussi les hommes et les fleurs, les animaux, les cailloux les montagnes les océans échangent de l’information avec ce grand tout. Un monde de pure abstraction, là est le défi. Car très peu d’homme au XXI siècles comprennent cela et peuvent échanger à ce niveau de conscience. Ma rémission est possible que si je prends conscience de moi à l’échelle atomique, de mon imbrication, de mon importance et de mon insignifiance et du bonheur que je peux tirer de cette appartenance.

La singularité qui précédait le bing bang était sans doute, dénué de masse, cet état ayant contenu essentiellement toute l’information et (ou) de l’énergie, comme écrite sur un disque dur nécessaire à la création de notre univers. Une fois libérée elle provoqua l’expansion universelle (Alan Guth). A ce moment précis l’accélération aurait provoqué l’apparition de la matière, de la masse, et de la gravité contenue dans cette singularité. Qui passé l’échelle de Planck est devenu quantifiable et atomique, en abandonnant sa fluctuance et sa probabilité d’être là plutôt qu’ailleurs la matière est devenu prévisible. Cet à ce moment, que la physique de Newton s’applique et rentre en jeu. Ceci permettant la construction des planètes, soleils, trous noirs et de notre univers comme nous le connaissons. Nous le vivons représenté par un haut un bas, une droite une gauche, un dur un tendre, un bon un mauvais, un blanc un noir. Un monde Dual qui finalement n’existe que parce nous le regardons comme tels. Car dès que nous replongeons dans l’infiniment petit tout redevient « NORMALE » connecté et sans dualité.

La forme d’écriture de cette expansion est fractale, holographique et tenu par les lois de la géométrie sacrée en chaque point de l’univers au niveau quantique. Ces mêmes lois s’appliquant pour nous sur terre et au niveau cosmique où les techniques de constructions sont sensiblement les mêmes.

La présence d’ondes, d’un ratio de 1,618 en relation avec la géométrie sacré au niveau quantique, nous montre bien la ressemblance qu’il y a avec le monde dans lequel nous vivons. Du minérale, à l’organique, à l’animal et celui des humains. Cette compréhension, cette intuition, l’homme la manifeste depuis des milliers d’années aux travers, Les Arts pour transmettre des émotions et de l’information. L’utilisation de la géométrie sacrée n’est pas une obligation. Mais il semblerait que lorsque, elle est utilisée et associée à une ou plusieurs pensées, ces créations traversent mieux les âges, par leurs solidités et les modes sans perte de valeurs cognitives. Ceci est une approche très basique de ce que les générations passées comprenaient de cette science, que nous avons en partie oublié et commençons à peine à redécouvrir en ce moment.

Monde de l'infiniment petit Monde de l'infiniment grand

Les différences dans notre univers sont surement dût à la conscience que nous les hommes avons de la matière. Comme si un compromis entre nous et elle ce serait accordé sur la façon de ce représenter le monde que l’on connait en ce moment. D’où ce que l’homme pense la nature le crée et c’est sans doute pareil ailleurs. Rien n’était écrit avant le Big Bang seul de l’information et de l’énergie était présente. Notre mentale nous représente le monde en trois dimensions, ceci sans doute en relation avec la masse et la gravité. Mais c’est aussi un frein pour appréhender le monde quantique. Est-ce le passage obligé, pour que l’humanité change de paradigme, prenne conscience d’elle-même et de sa place dans l’univers ?

« Pour changer le monde il faut commencer par se changer soi-même », disait (Gandhi).

Réalisé avec les photos de science et vie.

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